Afin de bénéficier de l’expertise et des competences des universités et des instituts prestigieux à l’intérieur et à l’extérieur du monde musulman, S.E. Prof. Koutoub Moustapha Sano, Secrétaire Général de l’Académie Internationale du Fiqh Islamique (AIFI), et S.E. Prof. Ahmed Cevat Acar, président de l’Université Zaim à Istanbul, ont signé un accord de coopération entre les deux institutions le lundi 28 Rabi’ al-Awwal 1444, correspondant au 24 octobre 2022, au siège de l’université à Istanbul, en République de Turquie.
Cet accord vise à lancer un partenariat stratégique dans les études conjointes sur les calamités et des enjeux contemporains dans le but de les orienter et de les gérer. L’accord vise également à coopérer à l’organisation conjointe de conférences et de symposiums, à la tenue d’ateliers et de formations, à l’échange de publications et de périodiques et à la représentation des deux parties dans les travaux de conférences et de symposiums qui se tiennent avec les connaissances de chacun dans le domaine d’intérêt commun entre eux.
Après la signature de l’accord, le Secrétaire général a exprimé ses sentiments en disant : « Je suis heureux de visiter cette jeune université prometteuse, et heureux d’en apprendre davantage sur ses activités intellectuelles et ses programmes scientifiques distingués, et je suis heureux de permettre à l’Académie de faire utilisation maximale du personnel académique qui y abondent en les invitant à préparer des recherches et des études pour la participation aux conférences et sessions de l’Académie. Enfin, je suis optimiste que ce partenariat sera un magnifique modèle de relations et de coopération entre l’Académie et les principales institutions scientifiques, intellectuelles et de recherche du monde musulman. »
Pour sa part, le Président de l’Université a exprimé son grand plaisir de conclure cet accord historique avec l’une des plus importantes institutions du Fiqh au monde, soulignant le rôle pionnier et pivot joué par l’Académie dans le domaine des visions unificatrices et opinions intégratrices dans le traitement des calamités et des développements renforçant la ligne islamique et renforçant la solidarité islamique. Il a conclu en exprimant son aspiration à activer les termes de l’accord dans un proche avenir afin de bénéficier mutuellement des capacités disponibles des deux institutions.
En application des termes du mémorandum, les deux parties sont convenues de former une commission spécialisée pour déterminer les aspects de coopération entre elles, ainsi que les modalités et mécanismes de mise en œuvre, comme prévu dans l’accord lui-même.
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